mercredi 11 décembre 2019

Résurrection d'un VBRG, par Turgis et Gaillard

Turgis et Gaillard continue à tracer son sillon : le groupe formé par Fanny Turgis et Patrick
Gaillard vient de le démontrer avec la remise à niveau d'un premier VBRG de la gendarmerie. Le contrat avait été notifié en janvier dernier, le VBRG remis en avril et ce premier engin est sorti de chantier à la rentrée (photos sur mon twitter) pour réintégrer la gendarmerie mobile. Le moteur a été remplacé par un Iveco, les ponts et boîte de vitesse ont été changés. Le blindage a été adapté pour prendre en compte les menaces de l'outremer.
Tout cela pour un prix dérisoire comparé à celui d'un véhicule neuf que la gendarmerie n'a ni les moyens d'acheter ni d'ailleurs de prendre.
Le général Richard Lizurey, précédent DGGN, avait évoqué le chantier, sans préciser l'identité du fournisseur, lors de ses auditions parlementaires.
C'est le bureau d'études interne au groupe, AA Rok, qui s'est chargé de l'ingéniérie, tandis que Sefiam s'est assuré du chantier, à Angoulême. Sefiam était un petits poucets accueillis sur le stand Dassault Aviation au dernier Bourget, sous la forme d'un chariot logistique pour charger le Rafale en armement.

Mes infops et photos sur le twitter @defense137.