Après l'armée de terre et la marine aujourd'hui (lire ici mon papier dans Lemarin.fr), la ministre sera
dimanche à Cherbourg chez Naval Group (ex DCNS) pour du diplomatico-business, et mardi dans l'armée de l'air, là aussi pour une immersion complète dans le monde des aviateurs.
Il est encore un peu tôt pour savoir quel type de ministre sera Florence Parly, qui a passé ses deux premières auditions au parlement (mercredi et jeudi), avec une plus dense à l'assemblée, où les participants étaient très nombreux.
A bord du Forbin, la ministre a reconnu vouloir travailler avec la commission, chacun restant dans son rôle. Le président de la dite commission, à ses côtés en mer, dit être sur la même ligne.
En matière de priorités, la ministre enregistre manifestement les messages qui lui sont envoyés, visite après visite, par les armées. JYLD avait son petit carnet, Florence Parly, elle, enregistre tout, posant ses questions.
A bord du Forbin, elle s'est rendue compte de l'interopérabilité des marins, mais aussi de l'exiguité des cabines. Elle a longuement écouté le pacha du Commando Hubert lui expliquer les ressorts d'une opération de contre-terrorisme en haute mer, avant d'aller prendre une cure de graisse à catapultes, à bord du Charles-de-Gaulle.
Une visite à laquelle rien ou presque ne manquait : dans le quadriptique qui présente les autorités de la défense, il manquait encore un portrait officiel de Florence Parly. Le photographe du bord a vraisemblablement pu y pourvoir, à l'issue de la visite.
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