Alors que le porte-avions Charles-de-Gaulle est actuellement en escale et que le bataille de Mossoul a
désormais clairement commencé, l'aviation française continue à soutenir l'effort en matière de frappes, un bel effort puisque l'opération est donc privée de 24 Rafale (sur les 36 engagés actuellement sur ce front).
Les no-fly days font, comme les escales, partie de la vie opérationnelle d'un porte-avions, afin d'assurer l'entretien des avions, des catapultes, et de reconstituer les stocks de vivres et de combustibles (1).
Comme ce blog l'expliquait il y a quelques temps, les Français sont en train de tendre vers le millier de frappes réalisées depuis l'automne 2014, pour 2000 engins largués.
(1) ce qui peut être aussi réalisé en mer.
Les dernières nouvelles données par l'EMA sur la situation du porte-avions n'évoquaient pas l'escale, mais faisaient état de la visite de plusieurs amiraux français -à dr. l'amiral du Ché, préfet maritime et commandant opérationnel de la marine en Méditerranée- et américain. Photo EMA