A l'image du nom du site, le Balargone a dû mal à afficher son identité. Coursives sans nom, salles
sans nom, par chance, quelqu'un a trouvé quelques drapeaux tricolores qui permettent de confirmer qu'on est bien sur un site militaire. Le seul acte nominatif, pour l'instant, est le baptême, non officiel à ce que je comprend, d'une allée général de Boissieu.
Oubliée, aussi, la promesse d'un ministre de la défense qui avait promis de réimplanter le Fouga Magister et le Mirage IIIE de l'ancienne cité de l'Air, délogés par les travaux.
Un problème hautement difficile à gérer, dans l'interarmité sensible du Balargone : si on le fait pour les aviateurs, il faudrait accepter, par sens de l'équité une tourelle de 100 mm démontée du Suffren, ou un Leclerc (les cavaliers ont des partisans bien placés) promis à la casse.