Ni volonté de cacher, ni bugs informatiques, mais transfert d'un site disparu à un site naissant qui met
du temps à monter en puissance. C'est l'explication donnée par le BEAD-Air au nombre limité de rapports d'accidents visibles en ligne sur le site internet de l'organisme. Ce dernier estime d'ailleurs être le seul à procéder ainsi.
Le nouveau site aurait dû être opérationnel en juin dernier, ce qui n'est donc pas le cas.
Moins les rapports classifiés, les rapports du BEAD-Air seront donc à nouveau visibles à terme, promet-on. Une fois que les anciens rapports auront été remis en ligne, un travail de bénédictin dont le terme n'est pas encore connu.