C'est le début des complications pour l'armée française à Bangui, qui a commencé ce matin, sous l'oeil de la
presse, à désarmer les Séléka. Les premières interpellations de miliciens rétifs ont été effectuées dans la foulée, par les paras de la 3e compagnie du 8e RPIMa. Les photos prises ce matin par l'AFP permettent également de voir d'autres paras à l'oeuvre, que leurs G-36 identifient comme les GCP du 3e RPIMa insérés au sein de la compagnie Boali.