Un confrère a reçu 25 exemplaires du numéro d'octobre d'Armées d'Aujourd'hui, l'organe de communication du ministère. On peut s'interroger, surtout si le cas n'est pas isolé : doit-on abattre des arbres pour un tel effet de masse, alors qu'internet peut faire le boulot, ce qui, au passage, génère quelques économies d'impression ? Et surtout dans un ministère qui claironne ses actions en faveur de l'environnement, et qui, à ce que j'ai compris, cherche des économies ?