vendredi 17 octobre 2014

Pendant ce temps à Al Dhafra (suite)

Ce blog l'a déjà expliqué, les occasions travailler sur la base d'Al Dhafra (EAU) sont assez rares, et
les limitations posées par les autorités locales concernent aussi les militaires de l'équipe de com' de l'état-major des armées (EMA). Résultat, à Paris, on s'interroge sérieusement sur l'opportunité de laisser ces équipes en place, puisqu'elles n'accueillent pas de journalistes, et ne peuvent même pas prendre des photos des moyens français (1).
D'ailleurs, il faut bien le remarquer, la France diffuse peu d'images de cette base qui n'est même plus nommée.
Un coup d'oeil aux médias sociaux étrangers montre pourtant que ces limitations ne concernent pas toutes les forces aériennes présentes sur place. Même les Australiens en font plus que les Français, en nombre d'avions, et de photos.
Une campagne longue, sans résultats rapides, sans images : Chammal va vite perdre des points dans l'opinion publique...

(1) Néanmoins, Al Dhafra n'est pas le seul site qui a des moyens com, mais n'accueille pas de journalistes, et ne produit pas de photos (c'est le weekend, les rébus sont permis).